Ma vision du Paradis
3 participants
Page 1 sur 1
Ma vision du Paradis
Voici un texte que je vous transmets avec beaucoup d'émotion...
Le 27 décembre très tard avec mon ami, nous nous sommes enregistrés sur un petit dictaphone que je venais de retrouver, en fait, je voulais tester s'il marchait encore, et SURTOUT... je voulais laisser des traces de belles " histoires", comme celles que l'on peut raconter aux enfants qui vont s'endormir.
Je pense sincèrement que ce soir là, nous avons été portés par les anges qui étaient présents autour de nous chez moi. Nous avons alors chacun raconté, ou dit notre vision du paradis.
En ce qui me concerne, j'ai fermé les yeux tout du long, et je me suis laissée emmener réellement.
Je me rappelle avoir eu les larmes aux yeux plusieures fois, la gorge serrée, comme on peut l'avoir lors d'une régression dans le temps sous hypnose par exemple, car on découvre en même temps qu'on vit les choses.
Un amour immense était autour et en moi.
Dernière précision, voici MA version et vision du Paradis, dans lequel je vous emmène si vous le voulez.
Voici donc ce que j'ai vu et dit, avec tout mon amour pour vous.
Ma vision du paradis.
Elisa
Si tu arrivais au paradis…
« Si j’arrive au paradis, je vois de la lumière jaune dorée, je vois beaucoup, beaucoup de lumière qui m’éblouit, parce que je n’ai pas l’habitude de la voir.
Je peux bouger, avancer, mais je ne marche pas, ça se fait tout seul, je me sens légère et je me sens un petit peu nue, comme si j’étais dans un tunnel,…. Et je vois personne dans ce tunnel pour le moment, et je sais que je dois arriver jusqu’au bout, et à la fois j’ai envie, et à la fois j’ai pas envie.
Je pense à ma chienne, et puis et puis, je ne peux pas revenir en arrière, alors je crois qu’il va falloir prendre un petit moment, un bon moment et puis ça y est, je débouche.
J’ai l’impression qu’il y a un grand vide après… il y a comme une sorte de fumée blanche, il y a beaucoup de blancheur, je ne vois pas très bien ce qu’il y a .
Je peux imaginer, maintenant… je peux imaginer, je vois des visages au dessus,… qui me disent bonjour, mais à la fois ces visages, je les connais pas, je ne sais pas exactement qui ils sont, ils me disent d’avancer, de continuer, de venir, qu’ils ont fait comme moi eux aussi, ils étaient un petit peu perdus. Et puis maintenant, ils sont là pour aider.
Et j’ai l’impression que je suis aspirée vers le haut dans une sorte d’entonnoir,… et là,… je vois pas de paysage, mais je vois l’univers,… je vois des étoiles, je vois des planètes, et puis, c’est comme la nuit….
J’ai une sensation de froid.
Au loin, je vois des chevaux qui tirent un grand chariot…
C’est bizarre, je vois des… il y a beaucoup de vie, beaucoup d’agitation, mais c’est comme si c’était dans le grand vide, de l’univers…
Je sais qu’à la fois, je peux aller où je veux, mais je sais pas où aller…
Et je voudrais bien qu’il y ait quelqu’un pour me, pour me guider.
A côté de moi, il y a un grand ange, tout blanc, il est à ma droite et je vois ses ailes qui sont immenses, dorées !
Il me prend par la main, et il me dit « viens je vais te montrer »… et là, je suis devant une grande porte.
Une grande porte, elle est toute jaune, toute dorée.
Devant cette porte, il pousse une herbe qui est très, très belle.
Cette porte s’ouvre et là, je vois beaucoup de monde, beaucoup de gens. J’ai l’impression que c’est un monde qui est tout fait en or, il y a des enfants, il y a des mamans…
D’après moi, il y aurait comme des palmiers, et puis c’est comme si ce monde était… perché dans le ciel : il y a le ciel en dessous, il y a le ciel au dessus.
Il y a des gens qui sont habillés comme tu étais, avec des espèces de tuniques. Ils ont des sandales, c’est vrai, et puis tout est doré un peu comme du sable. Tout est paisible, moi, j’entends pas de bruit, on me dit : « c’est le début du chemin. »
Je vois une maman qui est courbée vers le sol, elle a une sorte de besace,… il y a un chien qui est là.
On me dit : maintenant tu as un choix à faire, est ce que tu veux rester avec nous,… ou est-ce que tu veux repartir ?
Et je leur réponds :
« J’ai pas le choix de repartir !
Laissez moi m’habituer un petit peu. »
Il y a une femme qui me dit :
« Quand tu seras habituée, tu trouveras le chemin qui mène à une grande cité. C’est une cité en cristal, tu verras, elle est toute transparente. Elle est lumineuse aussi…
A l’intérieur de cette cité, il y a ce que tu as toujours espéré avoir, et que tu n’as pas pu trouver sur la Terre.
Il y a ton père qui t’attend, il y a tes grands parents, il y a ta sœur. Il y a ton petit frère que tu n’as jamais vu,… il y a aussi tous les animaux que tu as perdus.
Ils sont tous là à jamais, entourés par l’amour universel. »
Je la vois, cette cité, elle est belle ! Elle est comme entourée d’une bulle. Et il suffit simplement de passer à travers cette bulle pour être dans ce lieu.
Je dirais qu’il est bleuté, et j’avais déjà vu une partie de ce monde bleu…
Maintenant, je suis sur un choix : est-ce que j’avance encore,… mais j’y suis pas prête, alors je reste dans ce premier paysage.
J’ai l’impression qu’on va s’occuper de moi, qu’on va m’enlever mes douleurs, qu’on va m’enlever des parties de peau qui sont endommagées, on va m’habiller autrement, et on va me rassurer…
Il y a des maisons, où les gens sont allongés et où on les soigne avec des fleurs, avec des pommades. Ils peuvent rester allongés assez longtemps, c’est leur corps qui est allongé là, tout simplement, et on répare tout ce qui a été endommagé dans leur vie sur la Terre.
Ca dure un bon moment, mais le temps n’existe plus.
Quand leur corps est redevenu lumineux, comme à leur origine, ils repartent, ils sont alors propulsés et ils ont des ailes, ils peuvent se mouvoir tout seuls, et ils sont aussi légers que des petites libellules.
Et là, ils s’en vont dans cette cité, retrouver les êtres qu’ils ont tant aimés.
Dans cette cité, il n’y a que de la joie, il n’y a que de l’amour, il y a des êtres qui sont là, mais qui n’ont plus l’apparence humaine, ils sont comme des orbs, il y en a des milliers,… ils sont tout dorés. Voila, maintenant je fais partie de cette cité.
Je me sens légère.
Il y a de la douceur, il y a de la paix, il y a des encouragements de toutes parts, il y a des retrouvailles. C’est comme si on se racontait mille choses, sans avoir besoin de parler.
Tout se passe dans le silence, et pourtant, on entend tout.
Il y a comme une cathédrale, et au cœur de cette cathédrale, c’est le Centre de la Vie. J’y vois une grande croix que tout le monde peut venir toucher quand il veut.
C’est une source, c’est La Source, elle est blanche !
Voila ma vision du paradis.
Commentaires:
C’est bizarre parce que je voyais des ballons dorés, il y en avait des milliers qui tournaient tout partout, qui se touchaient, qui s’entremêlaient, et comme si tout le monde était chacun, et comme s’il y avait plus de limite, il n’y a plus d’individualité.
J’ai cherché à voir s’il y avait un guide, s’il y avait un être dans cette espèce de cathédrale, s’il y avait une figure humaine… Non, non il n’y avait pas, il n’y avait pas.
Mais par contre la grande croix comme une pierre immuable ou un métal que je n’ai jamais vu, quelque chose de très blanc, blanc, blanc…
Voila ce que j’ai pu voir.
Et par contre, le premier pays, si tu veux, la première station était beaucoup plus ressemblante à la Terre.
Le 27 décembre 2009 au Chalet à Lornay
Version enregistrée, retranscrite le 12 01 2010
Le 27 décembre très tard avec mon ami, nous nous sommes enregistrés sur un petit dictaphone que je venais de retrouver, en fait, je voulais tester s'il marchait encore, et SURTOUT... je voulais laisser des traces de belles " histoires", comme celles que l'on peut raconter aux enfants qui vont s'endormir.
Je pense sincèrement que ce soir là, nous avons été portés par les anges qui étaient présents autour de nous chez moi. Nous avons alors chacun raconté, ou dit notre vision du paradis.
En ce qui me concerne, j'ai fermé les yeux tout du long, et je me suis laissée emmener réellement.
Je me rappelle avoir eu les larmes aux yeux plusieures fois, la gorge serrée, comme on peut l'avoir lors d'une régression dans le temps sous hypnose par exemple, car on découvre en même temps qu'on vit les choses.
Un amour immense était autour et en moi.
Dernière précision, voici MA version et vision du Paradis, dans lequel je vous emmène si vous le voulez.
Voici donc ce que j'ai vu et dit, avec tout mon amour pour vous.
Ma vision du paradis.
Elisa
Si tu arrivais au paradis…
« Si j’arrive au paradis, je vois de la lumière jaune dorée, je vois beaucoup, beaucoup de lumière qui m’éblouit, parce que je n’ai pas l’habitude de la voir.
Je peux bouger, avancer, mais je ne marche pas, ça se fait tout seul, je me sens légère et je me sens un petit peu nue, comme si j’étais dans un tunnel,…. Et je vois personne dans ce tunnel pour le moment, et je sais que je dois arriver jusqu’au bout, et à la fois j’ai envie, et à la fois j’ai pas envie.
Je pense à ma chienne, et puis et puis, je ne peux pas revenir en arrière, alors je crois qu’il va falloir prendre un petit moment, un bon moment et puis ça y est, je débouche.
J’ai l’impression qu’il y a un grand vide après… il y a comme une sorte de fumée blanche, il y a beaucoup de blancheur, je ne vois pas très bien ce qu’il y a .
Je peux imaginer, maintenant… je peux imaginer, je vois des visages au dessus,… qui me disent bonjour, mais à la fois ces visages, je les connais pas, je ne sais pas exactement qui ils sont, ils me disent d’avancer, de continuer, de venir, qu’ils ont fait comme moi eux aussi, ils étaient un petit peu perdus. Et puis maintenant, ils sont là pour aider.
Et j’ai l’impression que je suis aspirée vers le haut dans une sorte d’entonnoir,… et là,… je vois pas de paysage, mais je vois l’univers,… je vois des étoiles, je vois des planètes, et puis, c’est comme la nuit….
J’ai une sensation de froid.
Au loin, je vois des chevaux qui tirent un grand chariot…
C’est bizarre, je vois des… il y a beaucoup de vie, beaucoup d’agitation, mais c’est comme si c’était dans le grand vide, de l’univers…
Je sais qu’à la fois, je peux aller où je veux, mais je sais pas où aller…
Et je voudrais bien qu’il y ait quelqu’un pour me, pour me guider.
A côté de moi, il y a un grand ange, tout blanc, il est à ma droite et je vois ses ailes qui sont immenses, dorées !
Il me prend par la main, et il me dit « viens je vais te montrer »… et là, je suis devant une grande porte.
Une grande porte, elle est toute jaune, toute dorée.
Devant cette porte, il pousse une herbe qui est très, très belle.
Cette porte s’ouvre et là, je vois beaucoup de monde, beaucoup de gens. J’ai l’impression que c’est un monde qui est tout fait en or, il y a des enfants, il y a des mamans…
D’après moi, il y aurait comme des palmiers, et puis c’est comme si ce monde était… perché dans le ciel : il y a le ciel en dessous, il y a le ciel au dessus.
Il y a des gens qui sont habillés comme tu étais, avec des espèces de tuniques. Ils ont des sandales, c’est vrai, et puis tout est doré un peu comme du sable. Tout est paisible, moi, j’entends pas de bruit, on me dit : « c’est le début du chemin. »
Je vois une maman qui est courbée vers le sol, elle a une sorte de besace,… il y a un chien qui est là.
On me dit : maintenant tu as un choix à faire, est ce que tu veux rester avec nous,… ou est-ce que tu veux repartir ?
Et je leur réponds :
« J’ai pas le choix de repartir !
Laissez moi m’habituer un petit peu. »
Il y a une femme qui me dit :
« Quand tu seras habituée, tu trouveras le chemin qui mène à une grande cité. C’est une cité en cristal, tu verras, elle est toute transparente. Elle est lumineuse aussi…
A l’intérieur de cette cité, il y a ce que tu as toujours espéré avoir, et que tu n’as pas pu trouver sur la Terre.
Il y a ton père qui t’attend, il y a tes grands parents, il y a ta sœur. Il y a ton petit frère que tu n’as jamais vu,… il y a aussi tous les animaux que tu as perdus.
Ils sont tous là à jamais, entourés par l’amour universel. »
Je la vois, cette cité, elle est belle ! Elle est comme entourée d’une bulle. Et il suffit simplement de passer à travers cette bulle pour être dans ce lieu.
Je dirais qu’il est bleuté, et j’avais déjà vu une partie de ce monde bleu…
Maintenant, je suis sur un choix : est-ce que j’avance encore,… mais j’y suis pas prête, alors je reste dans ce premier paysage.
J’ai l’impression qu’on va s’occuper de moi, qu’on va m’enlever mes douleurs, qu’on va m’enlever des parties de peau qui sont endommagées, on va m’habiller autrement, et on va me rassurer…
Il y a des maisons, où les gens sont allongés et où on les soigne avec des fleurs, avec des pommades. Ils peuvent rester allongés assez longtemps, c’est leur corps qui est allongé là, tout simplement, et on répare tout ce qui a été endommagé dans leur vie sur la Terre.
Ca dure un bon moment, mais le temps n’existe plus.
Quand leur corps est redevenu lumineux, comme à leur origine, ils repartent, ils sont alors propulsés et ils ont des ailes, ils peuvent se mouvoir tout seuls, et ils sont aussi légers que des petites libellules.
Et là, ils s’en vont dans cette cité, retrouver les êtres qu’ils ont tant aimés.
Dans cette cité, il n’y a que de la joie, il n’y a que de l’amour, il y a des êtres qui sont là, mais qui n’ont plus l’apparence humaine, ils sont comme des orbs, il y en a des milliers,… ils sont tout dorés. Voila, maintenant je fais partie de cette cité.
Je me sens légère.
Il y a de la douceur, il y a de la paix, il y a des encouragements de toutes parts, il y a des retrouvailles. C’est comme si on se racontait mille choses, sans avoir besoin de parler.
Tout se passe dans le silence, et pourtant, on entend tout.
Il y a comme une cathédrale, et au cœur de cette cathédrale, c’est le Centre de la Vie. J’y vois une grande croix que tout le monde peut venir toucher quand il veut.
C’est une source, c’est La Source, elle est blanche !
Voila ma vision du paradis.
Commentaires:
C’est bizarre parce que je voyais des ballons dorés, il y en avait des milliers qui tournaient tout partout, qui se touchaient, qui s’entremêlaient, et comme si tout le monde était chacun, et comme s’il y avait plus de limite, il n’y a plus d’individualité.
J’ai cherché à voir s’il y avait un guide, s’il y avait un être dans cette espèce de cathédrale, s’il y avait une figure humaine… Non, non il n’y avait pas, il n’y avait pas.
Mais par contre la grande croix comme une pierre immuable ou un métal que je n’ai jamais vu, quelque chose de très blanc, blanc, blanc…
Voila ce que j’ai pu voir.
Et par contre, le premier pays, si tu veux, la première station était beaucoup plus ressemblante à la Terre.
Le 27 décembre 2009 au Chalet à Lornay
Version enregistrée, retranscrite le 12 01 2010
ma vision du paradis
Merci Elisa de nous faire partager ce beau voyage astral, dans le pays inconnu du Paradis ! Nous sommes tous de grands enfants, et les contes nous attirent toujours autant, surtout lorsqu'ils sont si beaux et baignés de douceur et de lumière ! Tu sais nous emmener avec toi dans ce partage, et ta santé précaire ne t'a fait perdre aucune de tes qualités de transmission, c'est fabuleux !
Je vais garder cette page de rêve et la relire souvent, car si ma vie devait s'arrêter je voudrais avoir la joie de voir tout cela...... merci à toi et portes-toi le mieux possible, je prie chaque jour pour toi, et pour tous ceux qui comme toi ont du mal à intégrer ces fortes énergies qui nous secouent !
je t'embrasse affectueusement
Fanfan
Je vais garder cette page de rêve et la relire souvent, car si ma vie devait s'arrêter je voudrais avoir la joie de voir tout cela...... merci à toi et portes-toi le mieux possible, je prie chaque jour pour toi, et pour tous ceux qui comme toi ont du mal à intégrer ces fortes énergies qui nous secouent !
je t'embrasse affectueusement
Fanfan
Fanfan- membre
-
Nombre de messages : 2
Age : 78
Date d'inscription : 29/07/2008
Re: Ma vision du Paradis
c`est excellente le message astral
emule
emule
chocolate-
Nombre de messages : 18
Age : 44
Date d'inscription : 17/01/2011
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum